La balance
Elle est dans notre vie depuis notre naissance. On se pèse, on se compare à des normes pour voir comment on évolue. Bébé, enfant… Adolescent le rapport à la balance peut changer… Avec l’image de soi vers l’extérieur et l’intérieur… Adulte elle devient une référence une amie, une ennemie. On l’adore.. on la fuit…
Quand elle ne va pas dans le bon sens… Comment réagir ?
Est-elle est un indicateur de notre interieur ? Extérieur ? De notre ensemble ?
Si elle n’est qu’un indicateur quel poids lui donner à cette balance ? Que nous dit elle ? « Tu vas bien ? Mal ?Continue ? Arrête ? Abandonne ? Ça y est tu y es ? »
Elle nous parle, mais comprenons nous pleinement son langage ?
Est ce juste le début d’une phrase, par exemple « tu as maigri parce que… » ou « tu as grossi parce que… »
Je pense qu’elle peut nous aider à terminer ces phrases. Cela implique une prise de conscience de notre état (réel). Le Pourquoi de cet état ?
Après la prise de conscience (évidemment sans culpabilité…) le temps de l’objectif. « ok, je prends conscience mais j’en fais quoi ? Où je veux aller ? Où je veux être avec mon corps ? Dans mon corps ?
De cet objectif nous mettons des actions en place, dans un temps (raisonnable) donné. Il est important qu’il soit réalisable, et adapté.
Et on avance vers cet objectif dont la balance est un des critères de mesures, parmi d’autres, comment se sent-on dans nos affaires ? Quand se sent-on dans notre corps ? Dans notre image ?
Ce n’est pas un long fleuve tranquille… Et là balance en est un témoin..
La balance est donc parfois, un moyen, parfois un indicateur, parfois un témoin de nos réussites et de nos doutes..
On choisit de lui donner dans notre vie sa place, son poids… Car en effet son impact ne pèse pas le même poids pour tout le monde.